Au Japon, cet art mélange les cultures esthétiques et symboliques de la Chine, la Corée, l’Inde et l’Asie Centrale. Ainsi les compositions exécutées peuvent être des représentations de danses lentes avec des costumes lourds brodés de rouge (danses des gauches venues essentiellement de Chine) ou des représentations de danses et des costumes plus légers de couleur bleu ou vert (danse de droites venues principalement de Corée). Les positions des bras, des mains et des pieds sont stylisées et de géométries simples. A noter également un élément important qui sont les masques portés par les danseurs.
Destinées au départ à la cour impériale japonaise, de nos jours, le bugaku ne se joue plus qu’en de rares occasions ou lors de fêtes shinto.
Voici donc le bugaku, sans le son certes, mais tout en couleur !
les musiciens jouant le gagaku |
A la fin de représentation, le danseur se présente devant les musiciens qui vont lui retirer son masque |
C'est super sympa! quelle belle rencontre! et en plus vous avez eu le droit de découvrir son vrai visage!
RépondreSupprimerLes plus belles surprises viennent souvent du hasard de la vie. Et parce qu'on ne s'y attend pas, c'est encore plus merveilleux!
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